La BIO de fabrice :
Comme tous les ados, Fabrice attaque la guitare classique au lycée et massacre avec joie les Beatles, Rolling Stones et autre Polnareff. Et oui on est dans les années 70 !
Pris d’une crise mystique, mélangeant la cuisine macrobiotique, shirobindo, et l’avènement du Bikini, il passe à la guitare Folk et sort quelques interprétations, très personnelles, de standards US, notamment un soir du 18 Aout 1972, sur la plage d’Argeles les Bains, suivi d’un extrait de Tommy
Malheureusement le public est peu réceptif, et c’est son pote Jean Pierre qui, pendant un slow déchainé sort avec la super blonde.
Cet évènement, traumatisant, plonge Fabrice dans une profonde réflexion et, suite a l’écoute de l’intro de basse de Bless Its Pointed Little Head du Jefferson Airplane, il trouve enfin sa voie et passe à la quatre cordes.(En plus sur les photos de Wood Stock, Jacques Casady il a une super Gonzesse !)
Son Groupe : « les Elixirs Parégoriques » répète dur à Trappes, mais les intrusions incessantes de la mère de Jean Pierre dans la cave pour savoir si, pour le gouter, ils veulent des Rice Krispies au Miel, et, si c’est normal toute cette fumée, provoque le split du groupe.
Apres une période de retraite pour travailler ses gammes et peaufiner sa collection de cartes de chômage, Il se sent prêt pour le succès. La période Punk arrivant à propos, après les lamentables dérives Jazz Rock et Rock Progressif injouables, tout semble en place pour une rapide ascension vers le succès.
C’est pendant cette période qu‘il mettra au point la célèbre technique du médiateur Valstar par pack de 24. (NDRL : « L’abus d’alcool est dangereux pour la santé »)
Une nouvelle période de retraite lui permettra de travailler son style suite à sa malencontreuse rencontre avec la pompe gauche du bassiste des Clash due à une erreur involontaire de trajectoire d’un crachat adressé à Joe Strummer.
Enfin en 1978, il rencontre le Groupe « Minuit Boulevard », signe chez Pathé et enregistre un premier album en 1979.
Malheureusement, la forte et déloyale concurrence d’un groupe du nom de « Téléphone », qui s ingénue à sortir de bons albums, avec de bonnes chansons, et en plus bien chantées provoque son départ du groupe qui sera suivi par le batteur.
Son nouveau groupe « L’institut » n'aura pas le succès mérité et suite au départ du batteur, la boite à rythme n’étant pas encore inventée, Fabrice oublie ses désirs de gloire et passe les années suivantes à travailler, faire des enfants et sortir le chien Octave.
De temps en temps la vue d’une capsule de bière lui rappelle bien quelques souvenirs, et c’est ainsi, qu’ ‘il rentre un jour avec un accordéon à la maison, un autre avec un synthé mais le ressort semble brisé.
C ‘est grâce a sa femme, qui elle aussi les lui brise, que le coup de pied salvateur va être donne en 2000. Cela se traduit par l achat de deux basses, d’un ampli, d ‘un divorce, de la garde alternée des enfants, mais pas du chien !!.
Fabrice est à nouveau sur la route de l’avenir glorieux, que Tante Louise lui avait prédit en ce jour du 02 septembre 1954, se penchant sur son berceau pour rattraper son dentier parce que les dragées ça colle !
Vont suivre différents groupe, des concerts, un nouveau disque avec le groupe « Profane » dans le 91 mais Fabrice est du 78 !
Et c’est la rencontre avec « The Fancy Froggies », grâce a son pote Ago, qui joue comme une boite a rythme mais en mieux et dans le 78.
Bassiste heureux, Fabrice découvre un nouveau répertoire et même qu’ ‘il joue du Téléphone !
Son Matos:
Bases: Neuser, Fender, Warwick, Jacobacci
Amplis: Ampeg, Hartke
Ses Bassistes : Casady, Bogert, Lake, Entwistle, Glover et Maca plus tous les autres
Son hobby : Essaie de ne pas tomber de sa moto
Ses Projets : Pourvou qu’ca doure !